Catherine Rebillard

Depuis mon adolescence, j’ai toujours eu cette passion pour la peinture, cet art de mettre des formes et des couleurs sur les maux. Une sensibilité à fleur de peau, conjuguée à une curiosité sur le monde et ce qui m’entoure, m’ont conduite, non plus à flirter avec cette passion, mais à la vivre pleinement. La visite de nombreux musées de Paris à Moscou, d’Oslo à Amsterdam, révélera très vite en moi, cette fascination pour l’impressionnisme, et ses grands maîtres (Monet, Turner, Constable …) incontestables et pourtant si humbles . Je fis mes 1ers pas dans la peinture figurative, puis envahie d’émotions nouvelles, liées aux aléas de la vie et toujours plus intenses … de désillusions en désillusions, je me retrouvai envahie d’incertitudes, et commençai à me rechercher au plus profond de moi-même. Je me réfugiai alors dans la technique du dripping et du pouring, techniques dans lesquelles je me plaisais et pouvais laisser libre-cours à mes sens, qui se lièrent et se délièrent dans une cacophonie de couleurs, et d’éclaboussures dégoulinantes. Mon univers pictural d’aujourd’hui, car informel, est le résultat de cette métamorphose positive, sublimée par le désir de peindre, animé inconsciemment par mon existence quotidienne, et qui, à un moment donné, a fusionné l’étincelle spirituelle de ma vision figurative pour délivrer ma transposition vers l’abstrait, cet art qui ne peut s’expliquer … mais simplement se ressentir.

Depuis mon adolescence, j’ai toujours eu cette passion pour la peinture, cet art de mettre des formes et des couleurs sur les maux. Une sensibilité à fleur de peau, conjuguée à une curiosité sur le monde et ce qui m’entoure, m’ont conduite, non plus à flirter avec cette passion, mais à la vivre pleinement. La visite de nombreux musées de Paris à Moscou, d’Oslo à Amsterdam, révélera très vite en moi, cette fascination pour l’impressionnisme, et ses grands maîtres (Monet, Turner, Constable …) incontestables et pourtant si humbles . Je fis mes 1ers pas dans la peinture figurative, puis envahie d’émotions nouvelles, liées aux aléas de la vie et toujours plus intenses … de désillusions en désillusions, je me retrouvai envahie d’incertitudes, et commençai à me rechercher au plus profond de moi-même. Je me réfugiai alors dans la technique du dripping et du pouring, techniques dans lesquelles je me plaisais et pouvais laisser libre-cours à mes sens, qui se lièrent et se délièrent dans une cacophonie de couleurs, et d’éclaboussures dégoulinantes. Mon univers pictural d’aujourd’hui, car informel, est le résultat de cette métamorphose positive, sublimée par le désir de peindre, animé inconsciemment par mon existence quotidienne, et qui, à un moment donné, a fusionné l’étincelle spirituelle de ma vision figurative pour délivrer ma transposition vers l’abstrait, cet art qui ne peut s’expliquer … mais simplement se ressentir.